Les petits enfants et les jeunes écoliers sont fréquemment porteurs de poux. La ténacité avec laquelle on essaie parfois de les combattre ne garantit pas toujours un bon résultat. Au contraire, une résistance aux poux apparaît de plus en plus en raison de l’emploi incorrect et trop fréquent de certains produits. Ce numéro des Folia explique dès lors comment détecter la présence de poux, avec quels produits il est préférable de les combattre et comment lutter contre les récidives. Les soignants pourront ainsi, en toute connaissance de cause, accomplir leur mission importante dans ce problème banal et inoffensif, mais parfois très gênant.
Une vaccination de base est souvent insuffisante pour offrir une protection permanente contre les infections. Pour certaines vaccinations, la nécessité d’un rappel régulier est manifeste dès le lancement de la vaccination et l’administration du vaccin. Pour beaucoup d’autres vaccins, ce n’est qu’après plusieurs années d’utilisation que l’on constate qu’une vaccination de rappel est indiquée. La question se pose actuellement de savoir si, avec le schéma de vaccination actuel, la protection contre les méningocoques du sérogroupe C se maintient suffisamment jusqu’à l’adolescence. Pour le savoir, une surveillance rapprochée s’avère nécessaire.
Les AINS sont classiquement proposés comme premier choix dans le traitement de la crise de goutte. Une étude récente suggère que les corticostéroïdes sont une alternative équivalente. Il s’agit bien entendu ici d’un traitement de courte durée au cours duquel, selon cette étude, les effets indésirables n’ont pas été plus nombreux qu’avec les AINS. Le choix se fera en fonction des contre-indications éventuelles et en tenant compte, p. ex. chez les patients diabétiques, de la possibilité de perturbation du métabolisme glucidique.
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